REPONSES>
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Le texte est extrait de La Boite à Merveilles, roman à
caractère autobiographique d'Ahmed Sefrioui, l'un des premiers écrivains marocains d'expression française né en 1915 et mort en 2004. Dans ce roman, paru en 1954, Le narrateur, Sidi Mohamed, se rappelle de son enfance en racontant ses souvenirs comme s'il s'agit d'un album d'images ineffaçables.Parmi les souvenirs qui restent tatoués dans sa mémoire de vieux, on trouve celui du bain maure.
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L'oeuvre est un roman autobiographique puisque le narrateur( apparemmment différent de l'auteur ( Ahmed#sidi mohamed) raconte ses souvenirs d'enfance ( une partie de sa vie)
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sidi Mohamed se trouve avec sa mère dans un bain amure. Le narrateur a employé le mot " enfer" pour désigner ce lieu. Il s'agit d'une métaphore ( le bain est comparé à un enfer) et encore plus d'une hyperbole puisque le sens ici est exagéré.
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Ce qui fatigue le plus le petit enfant dans ce lieu, c'est l'atmosphère de vapeur, les personnages de cauchemar qui s'y agitaient et la température
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En attendant sa mère, l'enfant passe son temps à regarder les autres femmes s'agiter autour de lui et en mangeant une pomme ou un oeuf dur
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Dans ce texte narratif, le système des temps verbaux est caractérisé par l'emploi de l'imparfait et du passé simple. L'imparfait est utilisé surtout pour les actions répétitives (Ma mère prise dans le tourbillon, émergeaient de temps en temps ) ou des actions qui durent (les personnages de cauchemar qui s'y agitaient) ou même pour la description ( j'étais friand). Quant au passé simple, il est employé surtout pour les actions successives (Je pris timidement une orange, je l'épluchai, je la suçai pendant longtemps) ou des actions soudaines ou brèves ( ma mère fondit sur moi, ma mère réapparut de nouveau)
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Il s'agit d'abord d'une comparaison ( me jeta comme un paquet), et puis d'une métaphore ( le tourbillon). Cette métaphore peut être considérée aussi comme une hyperbole.
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Le petit enfant ne comprenait rien en ce qui se passait autour de lui. Il se demandait ce que pouvaient bien faire toutes ces femmes